L’OTRE en faveur d’un contrat social pour l’entreprise

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L’OTRE en faveur d’un contrat social pour l’entreprise

L’OTRE en faveur d’un contrat social pour l’entreprise.Lors du Congrès OTRE 2016, Aline Mesples a clairement affiché la position des entreprises de transport à l’horizon des élections de 2017 en étant en faveur d’un contrat social pour l’entreprise, dans la lettre d’information 632.

La présidente de l’OTRE a précisé « confrontés aux enjeux de la mondialisation, aux défis environnementaux, le transport routier ne peut être un dossier accessoire dans la réflexion globale sur l’avenir du pays en Europe et dans des échanges globalisés ».

L’OTRE en faveur d’un contrat social pour l’entreprise

L’OTRE en faveur d’un contrat social pour l’entreprise précisant que cette l’entreprise est le « moteur de l’économie » et du « développement social ». Aline Mesples exige « un contrat social acceptable qui protège l’entreprise et le salarié. Notre modèle social est fragilisé notamment par une judiciarisation excessive des relations employeur / salarié ou encore un code du travail incompréhensible et trop tatillon (…) A cela s’ajoute une insécurité permanente des chefs d’entreprise sur le plan de la responsabilité pénale ou financière ».

L’organisation patronale rappelle aux futurs candidats que « la politique économique est au service des entreprises, des entrepreneurs, des salariés. Pas l’inverse » et attend des futurs élus « des projets et des décisions pragmatiques ».

La fiscalité en hausse nuit à la compétitivité

Aline Mesples a rappelé que la fiscalité en hausse nuit à la compétitivité des entreprises françaises soumises à forte concurrence étrangère. Cette hausse de la fiscalité est un frein au développement de l’entreprise et pénalise l’activité économique des entreprises du TRM sur le marché européen et international.

Parmi les propositions pour y remédier, on note que l’OTRE estime que la baisse de certains prélèvements obligatoires (cotisations famille des entreprises, appliquer un taux zéro de charges sur le smic) contre une hausse de TVA de 1 point pourrait être équitable pour tous.

L’OTRE rappelle aux futurs candidats à l’élection présidentielle de 2017 que les TPE et PME sont les « premiers employeurs de France » et que « l’entreprise (…) crée la richesse (…), propose l’emploi, assure la formation initiale et continue (…).

Pour conclure, l’organisation patronale déclare que « le réalisme doit céder le pas à tous les conservatismes sans pour autant verser dans un ultralibéralisme sauvage ».

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