La CGPME, Confédération Générale des PME, avait lancé un appel aux chefs d’entreprises « pour manifester leur exaspération et demander davantage de liberté, moins de contraintes et de prélèvements obligatoires » ce 1er décembre sur Paris et Toulouse. Afin d’exprimer leur mécontentement au gouvernement en place le mouvement cadenassez soutenu par la FNTR a vu le jour.
Les principales revendications des TPE et PME portaient « sur la suspension immédiate du compte pénibilité, de l’interdiction d’embaucher à temps partiel moins de 24 heures par semaine et des nouvelles règles encadrant la transmission d’entreprise« .
Sur le site de la FNTR qui participait à l’évènement auprès des chefs d’entreprise du transport routier, on peut lire que la mobilisation des chefs d’entreprise des TPE et PME fut forte (6000 pour Paris, 4000 pour Toulouse).